Rencontre avec Jacky Schwartzmann dans une Caverne !

Lundi 2 octobre à 18h30

Nous avons eu un coup de tracteur pour “Shit!” de Jacky Schwartzmann, un polar désopilant où un conseiller principal d’éducation se retrouve impliqué dans un trafic de drogue. Jacky Swhwartzmann a bien voulu répondre à notre invitation et ô joie, nos amis de La Caverne nous accueillent dans leur lieu magique.

Autant dire que cette rencontre va dépoter !

Mais, teuteuteu, pour accéder au Graal, il faudra réserver (le nombre de places est en effet limité) au 07 82 55 72 27 ou sur letracteursavant@gmail.com.

A très vite !

L’auteur Jacky Schwartzmann

Durant vingt-cinq ans Jacky Schwartzmann a enchaîné les petits boulots, autant pour gagner sa vie que pour observer ses contemporains. Il est maintenant auteur et scénariste de bandes dessinées et de longs-métrages. Son parcours à la fois schizophrène et formateur lui a forgé une plume incomparable. Il revient au sommet de son art avec SHIT !.

Shit !

Quand Thibault débarque à Planoise, quartier sensible de Besançon, il est loin de se douter que la vie lui réserve un bon paquet de shit. Conseiller d’éducation au collège, il mène une existence tout ce qu’il y a de plus banale. Sauf qu’en face de chez lui se trouve un four, une zone de deal tenue par les frères Mehmeti, des trafiquants albanais qui ont la particularité d’avoir la baffe facile. Alors que ces derniers se font descendre lors d’un règlement de comptes, Thibault et sa voisine, la très pragmatique Mme Ramla, tombent sur la cache de drogue.

Que faire de toute cette came ? Lorsque notre duo improvisé compare ses fiches de paie avec le prix de la barrette, il prend rapidement une décision. Un choix qui pourrait bien concerner tout Planoise.

La Caverne

Située sur la commune de Penne du Tarn, en bordure d’Aveyron et à un kilomètre du château de Bruniquel, La Caverne à Penne est un haut lieu de l’aventure humaine.
Connue sous le nom de Grotte de Courbet, cette cavité naturelle a conservé la trace de nos ancêtres magdaléniens.

​La Caverne est à présent un lieu dédié à la fête et à l’esprit de création. Sa nature ne lui permet pas de s’ouvrir au grand public, mais l’autorise à recevoir des invités pour des moments privilégiés à l’occasion de diverses manifestations artistiques.

https://lacaverne.wixsite.com/lacaverne/galerie-photo-1

Les modalités pratiques

Le nombre de places est strictement limité et la rencontre se fait uniquement sur réservation au mail suivant : letracteursavant@gmail.com

Se rendre à La Caverne

La Caverne se situe route de la Madeleine, sur la commune de Penne. Pour vous y rendre, prendre la direction de Bruniquel, ne pas entrer dans le village mais franchir le pont (vous traversez donc l’Aveyron). Tout de suite après le pont, suivre la route sur la droite. Continuer sur 800 mètres, La Caverne sera sur votre gauche (et l’Aveyron sur votre droite). C’est clair ? N’oubliez pas votre petite laine, La Caverne n’est chauffée que par la chaleur humaine, ce qui est déjà beaucoup mais pas toujours suffisant…

Le stationnement est limité, nous vous conseillons de co-voiturer et de vous garer bien en amont de La Caverne.

“Une vieille odeur de haine”, dédicace de Bernard Ariès

Le dimanche 25 juin de 10h30 à 12h30, l’auteur Bernard Ariès est à la librairie pour dédicacer son livre, “Une Vieille odeur de haine” qui se déroule dans le Tarn !

Le livre

Dans nos villages aussi on a de beaux assassinats. Évidemment lorsque c’est vous qui découvrez le cadavre, chez vous, cela vous interroge beaucoup sur le pourquoi du comment et puisque l’on est retraité et encore un peu agile de la tête et des jambes, on cherche à comprendre ce qui est venu perturber cette région et ses habitants. Cette femme, je la connaissais un peu et parce que je la connaissais j’ai voulu comprendre ce lui était arrivé. Évidemment cela m’a entraîné assez loin du Tarn et assez loin de notre époque. Le doigt dans l’engrenage, on finit par retrouver dans la fureur des guerres qui ont traversé notre petite Europe, une certaine vérité. Mais on revisite aussi l’immensité des crimes du siècle passé. Cette vérité est amère et ma génération restera hantée par ce XXe siècle des horreurs. Enfin, une fois la vérité révélée, il s’agit de savoir qu’en faire…

L’auteur

Bernard Aries est né en Ardèche en 1950. Passionné par la poésie de Gaston Couté, Brassens, Leprest, il écrit et chante ses chansons tout en écrivant son premier roman, qui se déroule dans le Tarn où il réside depuis une vingtaine d’années.

Exceptionnel, rencontre avec Benoît Philippon

Jeudi 6 octobre à 18h30 à la librairie

Benoît Philippon nous avait ému et fait rire avec Berthe, l’héroïne féministe de “Mamie Luger” qui, à 102 ans, ne s’en laissait pas compter par le premier commissaire venu. Autant dire qu’on piaffait d’impatience de lire “Petiote” ! Pari réussi, dans ce troisième polar où l’auteur réaffirme son talent en nous immergeant dans une aventure où les paumés ont une place cruciale et attendrissante. Un coup de tracteur ! Et quelle joie, Benoît Philippon a accepté notre invitation. Réservez vite la date du 6 octobre !

En bonus, nous vous proposons un petit jeu : habillez-vous avec une belle blouse de mamie pour la rencontre. Parmi les participant.e.s, un tirage au sort permettra de gagner un livre “Petiote”. Allez, zou, à vos armoires…

Petiote ou l’histoire d’un loser qui n’a plus rien à perdre

Pour récupérer la garde de sa fille, Gus, un père au bout du rouleau, se lance dans une prise d’otages dans l’hôtel de naufragés où il vit. Sa revendication ? Un Boeing pour fuir au Venezuela avec Émilie, sa petiote.

Pour ce plan foireux, Gus s’allie à Cerise, une prostituée à perruque mauve. À eux deux, ils séquestrent les habitants déglingués et folkloriques de cet hôtel miteux : George, le tenancier, Boudu, un SDF sauvé des eaux, Fatou, une migrante enceinte, Gwen et Dany, un couple illégitime enregistré incognito, Hubert, un livreur Uber jamaïcain, mais aussi Sergueï, un marchand d’armes serbe. Et bien sûr, Émilie, son ado rebelle de quatorze ans.

La capitaine de police Mia Balcerzak est la négociatrice de cette cellule de crise. Crise familiale, crise de la quarantaine, crise sociale, crises de nerfs… quoi qu’il arrive, crise explosive !

“Petiote” de Benoît Philippon, éd. Les Arènes, 19,90€

Benoît Philippon

Né en 1976, Benoît Philippon est un écrivain, réalisateur et scénariste.

Bennoît Philippon a grandi en Côte d’Ivoire, aux Antilles, puis entre la France et le Canada. Scénariste puis réalisateur pour le cinéma, en 2016, il écrit son premier roman “Cabossé” (Série Noire, Gallimard). En 2018, il publie aux éditions Les Arènes “Mamie Luger”, suivi de “Joueuse” en 2020. Avec “Petiote” il confirme son talent d’auteur de romans noirs et déjantés.

Parmi ses livres

Les éditions Les Arènes

https://arenes.fr/

Rencontre avec François-Henri Soulié

Jeudi 8/09 à 18h30

Vous “mourez” d’envie de connaître la suite de “Magnificat” ? Alors, précipitez-vous sur “Requiem”. Et surtout, réservez la date 8 septembre pour rencontrer François-Henri Soulié. Avec la verve qui est la sienne, il nous présentera (sans trop en dévoiler) la trame de son nouveau roman et il lira également des passages de son livre. Bref, notez la date du 8 septembre ! 🙂

Requiem

Cathares, Croisés, espions, troubadours : le temps du requiem est-il venu pour le pays d’Oc ?
Occitanie. 1210. Au bord d’une rivière, on découvre le corps d’une femme sauvagement assassinée. La victime : une des prostituées qui suivent l’armée en campagne. Bientôt, un autre cadavre émasculé est découvert : c’est un Croisé. Le Diable est-il l’instigateur de ces crimes ?
Tandis que les barons du Nord déchaînent leur foudre sur les villes du Sud, se peut-il que la folie de leur chef, Simon de Montfort, ait gagné le cœur de ses troupes ?
Face à lui, Raimon de Termes tente de résister et s’apprête à tenir le siège héroïque de sa citadelle.
Et dans cette tempête de haine et de violence, une mystérieuse femme accompagnée d’un cerf semble détenir les clés d’une harmonie que tous ont oubliée depuis bien longtemps. Mais peut-il exister, au cœur de l’Enfer, une place pour le Paradis ?

“Requiem” de F.-H. Soulié, éd. 10/18, 468 pages, 16,90€

François-Henri Soulié

François-Henri Soulié est un homme de théâtre aux multiples casquettes : écrivain, comédien, marionnettiste, scénographe, metteur en scène et scénariste. Il a reçu le Prix du premier roman du festival de Beaune en 2016 pour Il n’y a pas de passé simple, paru aux Éditions du Masque. Ce livre a inauguré la série des « Aventures de Skander Corsaro ».
François-Henri Soulié est l’auteur chez 10/18 d’une trilogie écrite à quatre mains avec Thierry Bourcy, qui nous fait voyager à travers l’Europe du début du XVIIe siècle : Le Songe de l’astronome, La Conspiration du Globe et Ils ont tué Ravaillac.
Angélus, premier volume de la série « Occitania », est lauréat du Prix France Bleu – Grands Détectives et du prix Historia. Magnificat en est le deuxième volume.

Rencontre avec Kenan Görgün

Dans le cadre de Polars du Sud

Jeudi 8 octobre à 18h30

Dans le cadre d’un partenariat avec “Polars du Sud”, nous sommes ravies d’accueillir l’auteur Kenan Görgün pour la présentation de son polar saisissant “Le second disciple” publié aux éditions Les Arènes.

Le nombre de places est limité est la réservation est conseillée : letracteursavant@gmail.com
Le masque sera demandé pour assister à la rencontre.

Le second disciple

Xavier Brulein, ancien militaire de retour du Moyen-Orient, est écroué après une rixe sanglante dans un bar.
En prison, il rencontre Abu Brahim, prédicateur islamiste, l’un des cerveaux du terrible « attentat de la Grand-Place ». Seul membre de son réseau capturé, Brahim est convaincu d’avoir été sacrifié.

Converti avant sa remise en liberté, Xavier devient Abu Kassem, adoptant l’un des noms du Prophète de l’islam. Il infiltre une cellule terroriste pour démasquer ceux qui ont trahi Brahim, devenant l’instrument de sa vengeance, un homme-machine que rien ne saurait faire dévier de sa mission : « En comparaison, le 11-septembre sera l’enfance de l’art. »

“Le Second Disciple” par Kenan Görgün, ed. Les Arènes, 20€

L’auteur

Il se définit lui-même comme un mutant ! Kenan Görgün est un écrivain belge d’origine turque né en 1977.
Il a contribué à la revue « Marginales » avant de publier ses premiers poèmes et nouvelles.
Une quinzaine d’année plus tard, Kenan Görgün publie son dixième roman Le Second disciple aux éditions des Arènes.
Créateur prolifique, il brouille les genres car il est aussi un scénariste primé, membre de l’Association des Scénaristes de l’Audiovisuel, auteur de pièces de théâtre, de scripts… et a même écrit des chansons pour le groupe de rock O.I.L. .

Dans les médias

28 minutes ARTE

Le Monde des Livres

Le Soir

Polars du Sud

L’association Toulouse Polars du Sud a été créée en 2008 par un groupe de passionnés de romans noirs et policiers, écrivains, bibliothécaires, libraires ou  lecteurs, qui trouvaient anormal qu’il n’y ait pas de festival de ce type à Toulouse, 4ème ville de France,  et dans sa région. Ainsi, l’association a décidé d’organiser chaque année, le second week-end d’octobre, le Festival Toulouse Polars du Sud, autour des littératures noires et policières.

Le festival, entièrement gratuit, s’est installé dans le quartier populaire du Mirail à Toulouse et non au centre-ville, pour que ses habitants puissent eux-aussi avoir accès à un événement culturel important et une ouverture vers à la lecture et la littérature.

Depuis, le festival essaime aussi hors les murs…

Rencontre avec Benjamin Fogel, vendredi 11 octobre

Dans le cadre de Polars du Sud

Polars du Sud se délocalise à Saint-Antonin-Noble-Val ! Et dans ce cadre, nous avons le plaisir d’accueillir Benjamin Fogel, auteur de “La transparence selon Irina”, aux éditions Rivages, vendredi 11 octobre à 18h30.

De quoi parle le roman ?

2058 : le monde est entré dans l’ère de la transparence. Les données personnelles de chacun sont accessibles en ligne publiquement. Il est impossible d’utiliser Internet sans s’authentifier avec sa véritable identité.

Pour préserver leur intimité, un certain nombre de gens choisissent d’évoluer sous pseudonyme dans la vie réelle.
Sur le réseau, Camille, 30 ans, vit sous l’emprise intellectuelle d’Irina Loubowsky, une essayiste controversée qui s’intéresse à l’impact de la transparence sur les comportements humains. Dans la réalité, Camille se fait appeler Dyna Rogne et cultive l’ambiguïté en fréquentant un personnage trouble appelé U.Stakov, aussi bien que Chris Karmer, un policier qui traque les opposants à Internet. Mais Karmer est assassiné.
Entre cette mort brutale et le mystère qui entoure Irina, Camille remet en question sa réalité mais reste loin de soupçonner la vérité…

Qui est Benjamin Fogel ?

Benjamin Fogel est le cofondateur des éditions Playlist Society qui publient des essais culturels sur le cinéma, la musique et la littérature.

La transparence selon Irina, qui parait chez Rivages cette année, est son premier roman.

Sa bibliographie :

  • Le renoncement d’Howard Devoto, Le mot et le reste, 2015. (Essai)
  • Swans et le dépassement de soi, Playlist Society, 2016. (Essai)
  • La transparence selon Irina, Rivages (2019)

A propos de “La Transparence selon Irina”

https://www.youtube.com/watch?v=SrCyFmyukhg

« Benjamin Fogel nous offre un roman ludique et enthousiasmant, qui convie des références et éveille de nombreuses parentés, Ayerdhal et Alain Damasio en tête. Rendez-vous en 2058. »
Caroline De Benedetti – Fondu au Noir

Les goûts littéraires de Benjamin Fogel

Rencontre avec Gilles Vincent à La Caverne !

Vendredi 27 septembre à 18h30

La rencontre aura lieu dans un lieu magique orchestré par nos amis de La Caverne. Attention, le nombre de places est strictement limité.

Noir Vézère

Avec un titre comme celui-là, la rencontre ne pouvait qu’avoir lieu dans La Caverne…!

Avec ce polar édité aux éditions du Cairn, Gilles Vincent nous entraîne là où tout a commencé, dans les cavernes et les grottes. Les murs et les peintures ont encore beaucoup à révéler. Lascaux n’a pas livré tous ses mystères…

Le sujet : Il y a dix‐sept mille ans, sous une colline de Dordogne, un homme dessine une des plus belles énigmes de l’histoire humaine. En 1919, deux rescapés de la Grande Guerre vont se glisser sous terre, poser leurs yeux sur d’impressionnantes fresques plus que millénaires. De nos jours, emmurés par accident sous les roches de Lascaux, une capitaine de Gendarmerie secondée d’un préhistorien chevronné vont mettre au jour une bien ancienne et mystérieuse scène de crime…
Dans ce roman mi‐préhistorique, mi‐polar contemporain, l’auteur nous offre un voyage fascinant au cœur de toutes ces énigmes et nous conte la décision d’un homme : transcender sa condition d’humain en celle d’artiste.

“Noir Vézère”, éditions du Cairn, 168 pages, 8.50€.

L’auteur

Après 33 ans dans le Nord et onze ans à Marseille, Gilles Vincent décide, en 2003, de poser valises et stylos dans le Béarn. Depuis quinze ans, il consacre le plus dense de sa vie à l’écriture. Il est aussi animateur d’ateliers d’écriture en milieu scolaire, en prison, à l’hôpital…Les pages lues, écrites sont ses poumons, les mots, tout le sang qui l’habite… Auteur de polars connu et reconnu, il a plusieurs fois été récompensé : prix Europolar 2014 pour Djebel, prix Cezam Inter-CE 2014 pour Beso de la Muerte et prix du Mauvais Genre 2015 du Val Vert du Clain pour Trois heures avant l’aube. Dans la collection Du Noir au Sud il a déjà publié Un deux trois, sommeil ! en 2016 et Noir Vézère en 2018.

Le lieu

La Caverne est un rêve imaginé par une bande d’amis un peu fous qui ont décidé de dédié ce lieu unique à l’échange d’émotions artistiques et à l’esprit de création. Cet espace est réservé aux amis de l’art et de la culture, sur invitation.

Elle se situe route de la Madeleine, sur la commune de Penne. Pour s’y rendre, prendre la direction de Bruniquel, ne pas entrer dans le village mais franchir le pont (vous traversez donc l’Aveyron). Tout de suite après le pont, suivre la route sur la droite. Continuer sur 800 mètres, La Caverne sera sur votre gauche (et l’Aveyron sur votre droite). C’est clair ? N’oubliez pas votre petite laine, La Caverne n’est chauffée que par la chaleur humaine, ce qui est déjà beaucoup mais pas toujours suffisant…

Une femme, un homme, deux polars !

Rencontre dédicace avec Sandrine Roy et Patrick Nieto dimanche 23/09 de 10h30 à 12h30

Les livres

Lynwood Miller

Ancien membre des forces spéciales américaines, Lynwood Miller coule une retraite paisible dans les Pyrénées. Un soir, non loin de sa bergerie, il sauve d’une brutale agression une jeune femme. Après avoir blessé et fait fuir les deux malfrats, il conduit la victime, Éli, à l’hôpital. Il apparaît vite que cette femme d’une beauté déroutante détient des pouvoirs hors du commun et suscite de nombreuses convoitises…

Entre polar, fantastique et polar, le roman mêle suspens et action.

 

Funestes randonnées

Même si elles offrent de merveilleux moments, les balades occitanes se transforment parfois, pour les femmes qui croisent le Sphinx, en… funestes randonnées.

Marciac. Été 2016. Le corps mutilé d’une randonneuse est découvert aux abords d’un chemin. Les policiers retiennent leur souffle car il porte la même signature que celle de deux autres crimes perpétrés dans la région récemment.
La psychose d’un tueur en série arpentant les sentiers de randonnée d’Occitanie s’étend peu à peu. Philomène, jeune capitaine nouvellement affectée au SRPJ de Toulouse, devra faire ses preuves sur cette enquête. Fausses pistes, malchances, évènements inattendus, ou encore bizarreries de la nature jalonneront la traque de ce prédateur…

Les auteurs

Sandrine Roy est née à Bordeaux et vit à Montauban. Lynwood Miller est son premier roman. Sur les deux volumes publiés aux éditions Lajouanie, le tome 1 est paru aux éditions Folio.
Elle a déjà écrit les deux prochaines aventures de Lynwood Miller, héros charismatique, protecteur, amoureux, bagarreur, entier.

Originaire du sud‐ouest de la France, Patrick Nieto est commandant de police. Ses trente années passées dans le domaine de l’investigation judiciaire et le traitement d’affaires sensibles lui ont permis d’acquérir une approche très fine des pratiques en vigueur dans son métier ainsi que des hommes et des femmes gravitant dans le milieu policier.
Il est passionné de littérature asiatique et de polars.

Après un premier roman remarqué Toutes taxes comprises, un huis‐clos politique, Patrick Nieto nous lance sur les traces d’un serial killer qui chasse ses proies sur les chemins de randonnées du Sud‐Ouest, un thriller psychologique.
« J’ai voulu partager, à travers ce récit, une partie de mon expérience professionnelle notamment au niveau des techniques de police scientifique employées à l’heure actuelle dans les affaires criminelles et du chimérisme en matière D’ADN. Mais surtout, en dessinant le portrait psychologique de l’assassin, j’ai souhaité aborder le thème des problèmes mentaux rencontrés par certains criminels. En effet, nombre d’entre eux, conscients de leur hyper violence, éprouvent une souffrance insupportable à l’idée de ne pas réussir à se maîtriser. Pourtant, ils refusent pour la plupart toute aide de la part de professionnels de santé et vivent dans une insécurité mentale quasi permanente ». (Patrick Nieto)

Liens

http://www.folio-lesite.fr/Catalogue/Folio/Folio-policier/Lynwood-Miller

https://www.editions-cairn.fr/du-noir-au-sud-polar-cairn/1042-funestes-randonnees-9782350686486.html

Coups de Tracteur Littérature

“Angélus” de François-Henri Soulié, ed. 10/18

“Préférer l’hiver” d’Aurélie Jeannin, ed. Harper Collins

“Il est juste que les forts soient frappés” de Tibault Bérard, ed. de L’Observatoire

“De bonnes raisons de mourir” de Morgan Audic, ed. Albin Michel

“Disparaître” de Mathieu Menegaux, ed. Grasset

“Les poupées de Nijar” de Gilles Vincent, ed. Le Diable Vauvert

En dépit d’un sujet fort sombre, Gilles Vincent réussit le tour de force d’écrire un récit plein d’humanité.
Entre crise des migrants et agriculture intensive, l’auteur nous embarque dans une Espagne aimée mais encore chargée d’histoire, et peuplée de personnages si attachants.

“Juste une balle perdue” de Joseph d’Anvers, ed. Rivages

Une belle surprise que ce roman de Joseph d’Anvers : enlevé, vivant, cinématographique ! L’auteur entraîne ses héros vers la spirale infernale des (mauvais) choix. Ambiance de la fête, de la nuit et des conneries, le lecteur chavire… Bref, on vous le conseille ! 🚜 💕

“Toute une vie et un soir” d’Anne Griffin, ed. Delcourt Littérature

Une soirée, et pour Maurice, cinq toasts à porter aux cinq personnes qui ont le plus compté dans sa vie. Avec pudeur et émotion, nous accompagnerons Maurice Hannigan dans un bilan mélancolique et poignant de sa vie.
Sortez les mouchoirs et une bonne bière 🍺 !
Coup de tracteur 🚜 ❤️ !

“Idaho” d’Emily Ruskovich, Éditions Gallmeister

“A la ligne” de Joseph Ponthus, ed. La Table Ronde

“Les enténébrés” de Sarah Chiche, ed. du Seuil

“Un amour parfait” de Gilda Piersanti, ed. Le Passage

“ça raconte Sarah” de Pauline Delabroy-Allard, ed. de Minuit

“Isidore et les autres” de Camille Bordas, ed. Inculte

“Nulle autre voix” de Maïssa bey, ed. de l’Aube

“L’île” de Sigridur Hagalin Björnsdottir, ed. Gaïa

Du jour au lendemain, plus de communication sur l’Islande, ni avec le reste du monde. Le monde extérieur existe t-il encore ? L’Islande devient “l’île”, un bout de terre qui se replie sur elle-même et où tout se met en place pour se transformer en en une nasse effrayante.

Une dystopie rondement menée, un livre que vous ne lâcherez pas, avec une réflexion philosophico-politique passionnante.

On vous le recommande !

“Le lambeau” de Philippe Lançon, ed. Gallimard

Pas de nombrilisme, ni d’apitoiement sur soi-même. Une grande finesse d’analyse. On ne veut pas refermer le livre car on a l’impression de quitter un ami. Un bijou d’écriture.

“Candyland” de Jax Miller, Éditions J’ai Lu

Profitez de la sortie en poche de “Candyland”, un très bon polar à tiroirs, à l’ambiance lourde et originale, où passé et présent se répondent. Un roman policier (et bien plus) que l’on vous recommande!

 

“L’été circulaire” de Marion Brunet, ed. Albin Michel

“Hôtel du Grand Cerf” de Franz Bartelt, ed. du Seuil

“C’est parce que tu ne t’intéresses pas aux gens qui te parlent. Tu n’as pas envie de les connaître dans leur nudité. En cautionnant les fables qu’ils te racontent, tu sauvegardes les fables que tu te racontes toi-même sur ton propre compte. Je te donne raison, bien sûr. Sans illusions, la vie serait insupportable…”

Quelle gourmandise que ce polar drôle et grinçant ! Certaines scènes resteront dans vos rétines ! Écrit dans un style impeccable, avec un scénario bien ficelé et des personnages auxquels on s’attache, tel l’inspecteur Vertigo Kulbertus qui s’est fait de l’obésité une spécialité…

 

 

 

“Le bal mécanique” de Yannick Grannec, ed. Pocket

“Glaise” de Franck Bouysse, ed. La manufacture de livres

Créant une ambiance pesante, Franck Bouysse, nous entraîne dans une cette chronique de la vie rurale, pleine de rage et de beauté, loin des champs de bataille mais bousculée par la guerre. Tensions, secrets de famille, nature amie ou hostile, personnages détestables ou qui grandissent, il y a tout ceci et bien plus encore dans ce roman de Franck Bouysse.
De plus, il a été lauréat du super Prix Libr’à Nous 😉 dans la catégorie littérature francophone, c’est bon signe, non ? 😃

“Piégée” de l’auteure islandaise Lilja Sigurdardóttir, Editions Points

Ce polar islandais au rythme soutenu, avec une héroïne de tempérament donne diablement envie de lire la suite !

“Chanson de la ville silencieuse” par Olivier Adam, Ed. Flammarion

Un livre qui se boit comme une tasse de thé, qui semble léger mais qui est tannique, bref, un livre qu’on a savouré !! 😍

 

 

 

 

 

 

“Illusion tragique” de Gilda Piersanti, ed. Le Passage

“Car l’enfance qui continue d’agir sous le manteau dicte nos mouvements bien plus souvent que nous n’en avons conscience…” 
L’origine de la perversité des personnages trouve t-elle sa source dans l’enfance menacée ?
En commençant la lecture de ce roman noir, il faut courir le risque de ne plus pouvoir le refermer avant de l’avoir terminé… Préparez-vous à perdre vos repères !
Original, une belle écriture qui tient en haleine jusqu’à la dernière page…un vrai coup de !

 

Léonor de RECONDO : “Point cardinal”, ed. Sabine Wespieser

Laurent, Mathilda , Lauren… Thème du transgrenre abordé avec délicatesse grâce à l’écriture juste et toujours pleine de sensibilité de Léonor de Recondo.
Un regard bienveillant et qui va bien plus loin que la description de la transformation d’un homme : ” Doit-on être ce que voient les autres, être tel qu’on nous a aimé ? “
Un coup de cœur, une lecture émouvante, un bel exemple de tolérance.

188 mètres sous Berlin de Magdalena Parys, ed. Agullo

Berlin, 1998. Klaus Kreifeld reçoit la visite d’un certain Foerster, accompagné de son garde du corps. Peu après, il est assassiné. Vingt ans auparavant, en 1981, Klaus avait été chargé de diriger la construction d’un tunnel de 188 mètres de long entre Berlin Ouest et Berlin Est. L’objectif officiel de l’opération était d’organiser l’évasion d’un haut fonctionnaire communiste, le trouble Franz. Peter, un des membres de l’équipe ayant participé à la mise en œuvre de cette entreprise périlleuse, décide de mener l’enquête pour découvrir le meurtrier de son ami. Persuadé que la mort de Klaus est liée au tunnel, il retrouve ses camarades de l’époque et recueille leurs témoignages pour tenter de faire toute la lumière sur cette étrange aventure souterraine…
Complexe et dense, 188 mètres sous Berlin est un premier roman de Magdalena Parys publié par les superbes Agullo Editions qui font régulièrement des choix éditoriaux originaux. Ce roman nous en apprend beaucoup sur l’ambiance des sombres années du mur de Berlin…

“Rupture” de Maryline Desbiolles, ed. Flammarion

« Il venait d’une ville noire, pas autant que cette nuit de désastre mais bien sombre tout de même, il venait d’une ville noire, les pêchers, il avait trouvé ça très beau. »
D’une écriture poétique et envoûtante, Maryline Desbiolles entraîne le lecteur dans le rythme d’une vie. Cette vie, c’est celle de François, tantôt subjugué par la beauté des paysages qu’il découvre, tantôt anesthésié par le travail harassant ou la douleur…
Résumé : Embauché sur le chantier du barrage de Malpasset, près de Fréjus – qui va « changer la vie des gens » –, François quitte Ugine, la ville-usine, et son enfance silencieuse. Il découvre avec émerveillement la vallée rose, les bains de mer, la photo, les conversations politiques des camarades ouvriers. Et il tombe amoureux de Louise Cassagne, la fille d’un producteur de pêches. « Pas une fille pour toi », lui dit-on. Pourtant c’est elle qui lui donne le monde, et François croit en ce cadeau autant qu’en la solidité du barrage.
Maryline Desbiolles, “Rupture”, ed. Flammarion, un beau roman à découvrir ! 📖

Le présent n’a plus le temps

Rencontre avec François-Henri Soulié le 30 mars à 18h30

François-Henri Soulié a une activité littéraire soutenue et il nous fait le plaisir de nous rendre visite à l’occasion de la parution de ses deux derniers livres  : “Le présent n’a plus le temps”, aux éditions du Masque, où l’on retrouve le jeune Skander Corsaro et “Ils ont tué Ravaillac”, aux éditions 10/18, co-écrit avec Thierry Bourcy, enquête historique dans la collection “Grands Détectives”…

FH Soulié nous fera le plaisir de lire quelques extraits de ses romans (avec beaucoup de talent, mais chut, il n’aime pas qu’on dise ça), puis répondra à vos questions et dédicacera les livres à ceux qui le souhaitent. La soirée se terminera autour d’un verre de l’amitié !

Le présent n’a plus le temps

Grâce à Milly, sa collègue au Courrier du Sud-Ouest, le jeune journaliste Skander Corsaro obtient une invitation pour le cirque Jadranski.
L’occasion pour lui d’écrire une chronique sur la vie d’une troupe de circassiens. Apparaît alors une galerie de personnages hors du commun qui semblent tout droit sortis de l’univers tendre et tonitruant de Fellini.
Mais l’heure est à la controverse et les cirques «  avec animaux  » sont désignés à la vindicte publique. Skander lui-même est pris à partie et les incidents se multiplient jusqu’à ce qu’éclate le drame  : l’un des artistes est victime d’un tragique accident.
Mais s’agit-il bien d’un accident  ?
Au détour de l’enquête, la mort surgit de nouveau, frappant un autre innocent.  Indirectement impliqué dans ce crime, Skander découvre que l’univers cosmopolite et joyeux du cirque peut, comme partout, cacher ses monstres.
Et, à l’évidence, les fauves ne sont pas tous derrière les barreaux…

Ils ont tué Ravaillac

Paris, 1611. Dans les rues de la ville, le souvenir du sang versé d’Henri IV est vif. Nul ne s’émeut du sort de Ravaillac, l’assassin du roi, qui meurt en emportant ses secrets.

Outre-Manche, le lieutenant de la garde Mattheus Kassov est convoqué par Jacques Ier d’Angleterre : une espionne de la Couronne britannique a disparu lors d’une mission en France. Mattheus est envoyé sur ses traces. Le jeune homme, qui connaît bien l’espionne et sa nature déloyale, sait que son enquête le mène en territoire périlleux. Le jeu de piste sera jonché de cadavres. D’invisibles ennemis, aussi puissants que féroces, entendent bien laisser dans l’ombre les preuves de leur funeste machination.

François-Henri Soulié

François-Henri Soulié est un homme de théâtre aux multiples casquettes, écrivain, comédien, marionnettiste, scénographe, metteur en scène et scénariste. Il a reçu le Prix du premier roman du festival de Beaune en 2016 pour “Il n’y a pas de passé simple”, paru aux éditions du Masque.