Zoom sur les éditions Gallmeister

Vendredi 26 novembre à 19h

Nous avons le grand plaisir d’accueillir Marie Moscoso des éditions Gallmeister pour un moment d’échanges autour de cette maison d’édition qui est une mine de coups de tracteur ! 😉

La rencontre aura lieu vendredi 26 novembre à 19h à la librairie et sera suivie d’un verre de l’amitié.
Il est conseillé de réserver. 🙂

Les éditions Gallmeister

Fondées en 2006, les éditions Gallmeister fixent leur cap de départ sur les États-Unis. En quinze ans, la maison d’édition impose son logo “patte de loup”, devenant la seule maison française exclusivement dédiée à la littérature nord-américaine.
D’est en ouest, leurs auteurs interrogent les beautés et les contradictions de leur immense territoire et de ses habitants. Détectives privés de la côte ouest ou guides de pêches de la côte est, habitants de Brooklyn ou cow-boys mélancoliques sont autant de représentations d’une Amérique plurielle.
Ces icônes mythiques sont devenues des compagnons de choix pour l’observation attentive du monde naturel, qui marque profondément le destin des hommes et des failles du rêve américain grâce à un regard frondeur et critique porté sur l’American way of life.

2021 est placée sous le signe de l’ouverture sur le monde : les éditions Gallmeister se consacrent désormais à la découverte des multiples facettes de la littérature mondiale, créant des passerelles entre univers, cultures et continents pour offrir d’inoubliables moments d’évasion. Bush australien, pampa sud-américaine, montagnes sardes, steppe russe, fjords de Norvège… autant de nouveaux territoires romanesques à explorer pour respirer l’air frais et continuer de nous émouvoir, nous enchanter, nous fait réfléchir, nous amener ailleurs…

Rencontre avec Salomé Kiner

Jeudi 2 décembre à 19H à la librairie

Nous avons eu un coup de cœur pour “Grande couronne” et c’est donc avec joie que nous accueillons son autrice Salomé Kiner jeudi 2 décembre à 19h. La rencontre aura lieu à la librairie, sur réservation. ça va être chouette !

Le livre

Nous sommes en France, à la fin des années 1990. Dans une ville de banlieue pavillonnaire, une adolescente regarde passer les trains qui filent vers Paris. Elle a des projets plein la tête : partir, devenir hôtesse de l’air et surtout, plus urgent, s’acheter des vêtements de marque.
Mais comment faire quand on n’a pas assez d’argent de poche et que la vie dont on rêvait se révèle être un champ de cactus ?
Car en attendant, sa famille vacille et ses repères sont chamboulés. En moins d’un an, sans renoncer à ses désirs, elle devra tout apprendre : comment classer ses émotions, tenir tête à ses copines, assumer des responsabilités trop grandes pour elle et vivre ses premières expériences sexuelles.
Si l’adolescence est une ligne de crête menant à l’âge adulte, l’attachante héroïne de Grande Couronne s’y tient en équilibriste, oscillant entre le trivial et le terrible. Mais elle a une arme : une vision au laser grâce à laquelle elle dresse un tableau de son époque et de ses émotions aussi drolatique qu’impitoyable.

“Grande couronne” de Salomé Kiner, éd. Christian Bourgois, 288 pages, 18,50€

L’autrice

Salomé Kiner est née en 1986 dans le Val-d’Oise.

Journaliste, elle vit et travaille en Suisse. Grande Couronne est son premier roman.

Rencontre avec David Diop

Samedi 13 novembre à 18H, sur réservation

Nous avons le grand plaisir d’accueillir David Diop samedi 13 novembre à 18h pour nous parler de son dernier roman “La porte du voyage sans retour”. La rencontre aura lieu Salle du Prieur-Mage (salle du rez-de-chaussée à la mairie) et uniquement sur réservation, par téléphone ou email (letracteursavant@gmail.com).

Le livre

« La porte du voyage sans retour » est le surnom donné à l’île de Gorée, d’où sont partis des millions d’Africains au temps de la traite des Noirs. C’est dans ce qui est en 1750 une concession française qu’un jeune homme débarque, venu au Sénégal pour étudier la flore locale. Botaniste, il caresse le rêve d’établir une encyclopédie universelle du vivant, en un siècle où l’heure est aux Lumières. Lorsqu’il a vent de l’histoire d’une jeune Africaine promise à l’esclavage et qui serait parvenue à s’évader, trouvant refuge quelque part aux confins de la terre sénégalaise, son voyage et son destin basculent dans la quête obstinée de cette femme perdue qui a laissé derrière elle mille pistes et autant de légendes.

S’inspirant de la figure de Michel Adanson, naturaliste français (1727-1806), David Diop signe un roman éblouissant, évocation puissante d’un royaume où la parole est reine, odyssée bouleversante de deux êtres qui ne cessent de se rejoindre, de s’aimer et de se perdre, transmission d’un héritage d’un père à sa fille, destinataire ultime des carnets qui relatent ce voyage caché.

Michel Adanson (1727-1806)

L’auteur

Né à Paris, David Diop a grandi au Sénégal et est maître de conférences à l’Université de Pau, spécialiste de littérature du XVIIIe siècle.

Il signe, avec La Porte du voyage sans retour, son troisième roman, après le succès de Frère d’âme (lauréat du prix Goncourt des lycéens 2018, de l’International Booker Prize 2021 et traduit dans plus d’une trentaine de pays).

Emballons-nous !

📣 Taadaam ! Des paquets cadeaux recyclables, vous en rêviez ?

Et bien, c’est le nouveau service que Le Tracteur Savant vous propose en partenariat avec la Récup’rie de Lexos !
Avec leurs petits doigts musclés et habiles, nos amies de la Récup’rie ont cousu pour nous de belles pochettes (il y en a pour tous les goûts).

Nous les achetons et vous les proposons au même prix à la consigne, soit 2€ la pochette cadeau. Si vous rapportez la pochette, on vous rembourse sur le champ (labouré) !
Nous sommes ravies de ce partenariat écolo et solidaire. Et en plus, c’est joliiiii ! 🤩
Venez les découvrir à la librairie.

Coups de tracteur #13

Littérature

Dans ce premier roman, Salomé Kiner parle de l’adolescence, de ses fracas et de sa flamboyance. Elle aborde aussi un sujet lourd – la prostitution des mineur.e.s – et réussit la prouesse de le traiter sans tomber dans le sordide.

Avec sa plume alerte et acérée, Salomé Kiner dresse le portrait aigre-doux d’une adolescente de la fin des années 90 qui ne comprend rien et ne voit rien arriver.
L’héroïne est attachante et on suit, en tension, sa vie chaotique et son ton parfois cru et non dénué d’humour.

C’est vif, sensible, parfois drôle. C’est de la violence traversée de lumière. On y croit, on est emporté.

Une réussite.

“Grande couronne” de Salomé Kiner, éd. Christian Bourgois, 18,50€

Ce matin-là, Jacques Bonhomme n’est pas dans sa cuisine, pas sur son tracteur, pas auprès de ses vaches. Depuis la veille, le jeune homme est en cavale : il a quitté sa ferme et s’est enfui, pourchassé par les gendarmes comme un criminel. Que s’est-il passé ?
Par les voix de sa sœur, d’un voisin, on va suivre les épisodes qui ont conduit à cette situation. Inspiré de faits réels, on ne peut qu’être happé par la machine implacable, secoué par les aberrations d’un système dégradant notre rapport au vivant.

C’est toute la magie de Corinne Royer de rendre un texte à la fois poétique et vivant où le lecteur se trouve bouleversé par ce récit de vie poignant, absurde. Peut-être le roman le plus fort de Corinne Royer.

“Pleine terre” de Corinne Royer, Actes Sud, 21€

Un jour, la mère d’Anne Berest reçoit une carte postale anonyme avec quatre prénoms qui sont ceux de ses grands-parents et de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942.
A partir de là, Anne va enquêter. Qui a pu envoyer cette carte ? Et surtout quelle a été la vie des membres de sa famille qu’elle n’a jamais connu ?

Une saga familiale où l’histoire croise l’Histoire qui est aussi une enquête haletante et surtout un très beau roman.

“La carte postale” d’Anne Berest, éd. Grasset, 24€

Littérature ados/adultes

Pour le groupe elle en est une.
Une belle.
Une vraie.
Une grosse.
Une sacrée.

Une vague d’insultes et de haine s’abat brutalement sur l’héroïne de cette histoire.

Ce très bon roman d’éducation sexuelle mène des réflexions passionnantes sur le slut shaming (le fait de stigmatiser les femmes en raison de leur comportement sexuel). Un récit court dont on ne décroche pas, qui dit l’importance de l’écoute de soi et de l’autre dans les relations intimes et qui donne envie d’être soi.

“Queen kong” d’Hélène Vignal, éd. Thierry Magnier, 12,90€

Polar

Dans un poste de police australien, Gabriel se présente car il s’est soustrait à un tueur en série pour lequel il aurait dû être la 55e victime. Quelques heures plus tard, Heath vient chercher protection car il vient d’échapper aux griffes d’un fou : un certain Gabriel.
Qui dit la vérité ? Comment débuter l’enquête ?

Premier roman de cet auteur irlandais, voici un bon polar au scénario original et qui tient la route jusqu’au bout.

“Victime 55” de James Delargy, éd. Harper Collins, 8,50€

Livre-objet

Un leporello qui forme une boucle infinie : celle des langues qu’il nous reste à apprendre. Un récit et des illustrations tout en sensibilité qui forment un langage magnifique.

“Je connais peu de mots” d’Elisa Sartori, éd. Cotcotcot, 15,50€

Essai

En mêlant récit personnel, essai scientifique et témoignages au sujet de personnes autistes dites invisibles, ce livre change complètement notre regard sur ce qu’est la « normalité ». Une réflexion essentielle et une approche intersectionnelle passionnante accessibles, notamment grâce à un humour bien dosé.

Dans ta bulle, Julie Dachez, éd. Marabout, 6,90€

BD

« C’est alors que j’ai réalisé que j’étais non seulement morte, mais assassinée ».
Emma Doucet, vieille dame au caractère bien trempé, se relève d’une chute en se sentant étrange. Pourtant, rien n’a changé, excepté un trou dans sa poitrine… Qui a bien pu vouloir sa mort ? Et pourquoi n’est-elle pas (vraiment) morte ?

La vieille femme va décider d’enquêter…

Comédie grinçante et savoureuse, on ne peut que suivre avec enthousiasme les aventures de ces vieux qui aspirent à une mort joyeuse. C’est léger et profond et ça se dévore.

Ma vie posthume – intégrale, d’Hubert et Zanzim, éd. Glénat, 20€

Albums jeunesse

Un bijou graphique et narratif exceptionnel, qui ravira les petits et grands lecteurs comme les non-lecteurs grâce à la richesse de ses pages. L’auteur nous glisse dans la peau d’un héros casqué en colonie de vacances au Camp d’été de la Vallée du secret. Il se lance alors à la recherche du Maître du secret (c’est simple : il a une grande barbe, une canne, un artichaut et un chapeau rigolo) et tente de connaître le fameux secret.
Un album complètement farfelu aux couleurs explosives !

Le Secret très secret du maître du secret” de Vincent Pianina, Thierry Magnier, 18€

Un adorable livre pop-up (livre animé) aux mécanismes originaux. La sobriété des trois couleurs (blanc, noir, turquoise) ajoute à la beauté de ce petit livre-objet qui fera étinceler les pupilles des petits et grands.

“Chat blanc” de Mathilde Arnaud, éd. Les Grandes Personnes, 15€

Et hop, un petit livre maniable pour les petits mains, pour apprendre à compter et à reconnaître les chiffres.

De façon ingénieuse, sur chaque page, différents modes de lecture sont proposés : compter sur ses doigts, compter les points d’un domino, repérer une suite, lire les chiffres arabes ou écrits.

C’est joyeux et graphique en plus d’être intelligent.

“Les toutouchiffres” de Caroline Dall’Avia, éd. L’Agrume, 13,90€.

Dédicace de Christian Chemin et Gérard Grosborne

Nous avons le grand plaisir d’accueillir Christian Chemin et Gérard Grosborne pour la parution du livre “Les pronoms des arbres”, jeudi 4 novembre à 18h. La rencontre sera suivie/accompagnée d’un verre de l’amitié. 🙂

Le livre

Les pronoms sont l’endroit d’où nous parlons. Parler ici, à partir de l’arbre, des arbres. Lier des petites histoires à l’histoire qui se joue et notamment l’histoire que les arbres nous racontent. Leur détresse aussi. J’entends Greta Thunberg s’adresser à nous, ceux qui ont joui de tout, certains plus que d’autres, ma génération plus qu’une autre. Elle, c’est mon enfant, nos enfants. J’ai encore envie de leur raconter des histoires, non pas pour les endormir, mais pour dire ce qui nous fait humain, que si nous ne pouvons changer le monde, du moins que celui-ci ne nous convertisse pas en bio-humain connecté…. et que l’on puisse encore marcher dans une forêt, admirer ou toucher un arbre en éprouvant par tous nos sens la puissance de la vie.”
Christian Chemin

“Les pronoms des arbres” de Christian Chemin, photographies de Gérard Grosborne, 56 pages, 8€.

Les auteurs

Christian Chemin écrit court, il ne sait faire autrement. Il écrit des petits textes, des chroniques, des poèmes, des chansons qu’il met parfois en musique et qu’il chante. Il arrive que ses petites histoires rencontrent un autre, une autre, alors on fait un bout de chemin ensemble.

Doit-on présenter Gérard Grosborne aux saint-antoninois ? Gérard est photographe. Il est un œil. Un œil 24/36 qui saisit dans le cadre l’instant, le moment, le bon moment. Il écrit en 35 millimètres comme on écrit des chroniques. Instants volés, instants figés parfois dans le cadre, parfois hors champs, là où la photo s’invente.

La fin de la mégamachine

Rencontre avec Fabien Scheidler, samedi 23 octobre à 18h

Samedi 23 octobre, nous aurons la chance d’accueillir Fabian Scheidler pour la présentation de son livre “La fin de la mégamachine, sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement”, publié aux éditions du Seuil.
Énorme succès à l’étranger, ce livre nous offre une clé de compréhension des désastres climatiques, écologiques, pandémiques et économiques contemporains, liées aux structures économiques, politiques et idéologiques que l’auteur appelle “la mégamachine”.

Afin de mieux comprendre ses réflexions passionnantes, nous vous invitons à venir écouter l’auteur samedi 23 octobre à 18h.

La modération sera assurée par Aurélien Berlan, agrégé et docteur en philosophie, chargé de cours à l’Université Jean-Jaurés de Toulouse qui est aussi le traducteur de l’ouvrage.

Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement

Énorme succès à l’étranger, ce livre nous offre une clé de compréhension des désastres climatiques, écologiques, pandémiques et économiques contemporains. Accuser Sapiens, un humain indifférencié et fautif depuis toujours, est, selon Fabian Scheidler, une imposture. Notre histoire est sociale : c’est celle des structures de domination nées il y a cinq mille ans, et renforcées depuis cinq siècles de capitalisme, qui ont constitué un engrenage destructeur de la Terre et de l’avenir de l’humanité, une mégamachine.
Mais ces forces peuvent aussi être déjouées et la mégamachine ébranlée. Alors que les alternatives ne manquent pas, quel déclic nous faut-il pour changer de cap et abandonner une voie manifestement suicidaire ?
La réponse est dans ce récit. Car seul celui qui connaît sa propre histoire peut être capable de l’infléchir.

L’auteur

Fabian Scheidler est un auteur, essayiste, philosophe, journaliste et dramaturge allemand. Il a étudié l’histoire, la philosophie et le théâtre. Fabian Scheidler travaille notamment comme auteur indépendant pour la presse, la télévision, le théâtre et l’opéra. Il publie régulièrement dans les Blätter für deutsche und internationale Politik (édité par Saskia Sassen, Jürgen Habermas et al.), la Tageszeitung (Taz) et d’autres revues. En 2009, il obtient le prix Otto Brenner pour le journalisme critique. Il a aussi publié Chaos. La nouvelle ère des révolutions (2017, en allemand).

Lire un extrait

https://ref.lamartinieregroupe.com/media/9782021445602/144560_extrait_Extrait_0.pdf

Rencontre avec Violaine Bérot à La Caverne

Nous avons la joie d’accueillir Violaine Bérot pour son livre “Comme des bêtes” que nous avons adoré !

La rencontre aura lieu chez nos amis de La Caverne (explications ci-dessous) – lieu idéal pour découvrir cet ouvrage – mercredi 29 septembre à 18h30. Sur réservation uniquement.

Comme des bêtes

La montagne. Un village isolé. Dans les parois rocheuses qui le surplombent, se trouve une grotte appelée “la grotte aux fées”. On dit que, jadis, les fées y cachaient les bébés qu’elles volaient.

A l’écart des autres habitations, Mariette et son fils ont construit leur vie, il y a des années. Ce fils, étonnante force de la nature, n’a jamais prononcé un seul mot. S’il éprouve une peur viscérale des hommes, il possède un véritable don avec les bêtes.

En marge du village, chacun mène sa vie librement jusqu’au jour où, au cours d’une randonnée dans ce pays perdu, un touriste découvre une petite fille nue. Cette rencontre va bouleverser la vie de tous…

Violaine Bérot, dans ce nouveau roman à l’écriture poétique, décrit une autre vie possible, loin des dérives toujours plus hygiénistes et sécuritaires de notre société. Un retour à la nature qu’elle-même expérimente depuis vingt ans dans la montagne pyrénéenne.

“Comme des bêtes” de Violaine Bérot, éd. Buchet-Chastel, 160 pages, 14€

Violaine Bérot

Née en 1967, Violaine Bérot vit dans les Pyrénées. Son parcours éclectique l’a menée de l’informatique à l’élevage de chèvres. Dans cette vie en soubresauts, une seule constante : écrire.

Aux éditions Buchet-Chastel, elle a publié :

Des mots jamais dits, 2015

Nue, sous la lune, 2017

Tombée des nues, 2018

Qu’est-ce que La Caverne ?

Située sur la commune de Penne du Tarn, en bordure d’Aveyron et à un kilomètre du château de Bruniquel, La Caverne à Penne est un haut lieu de l’aventure humaine.
Connue sous le nom de Grotte de Courbet, cette cavité naturelle a conservé la trace de nos ancêtres magdaléniens.

​La Caverne est à présent un lieu dédié à la fête et à l’esprit de création. Sa nature ne lui permet pas de s’ouvrir au grand public, mais l’autorise à recevoir des invités pour des moments privilégiés à l’occasion de diverses manifestations artistiques.

https://lacaverne.wixsite.com/lacaverne/galerie-photo-1

Les modalités pratiques

Le nombre de places est strictement limité et la rencontre se fait uniquement sur réservation au mail suivant : letracteursavant@gmail.com

Un masque vous sera demandé pour accéder au lieu.

Se rendre à La Caverne

La Caverne se situe route de la Madeleine, sur la commune de Penne. Pour vous y rendre, prendre la direction de Bruniquel, ne pas entrer dans le village mais franchir le pont (vous traversez donc l’Aveyron). Tout de suite après le pont, suivre la route sur la droite. Continuer sur 800 mètres, La Caverne sera sur votre gauche (et l’Aveyron sur votre droite). C’est clair ? N’oubliez pas votre petite laine, La Caverne n’est chauffée que par la chaleur humaine, ce qui est déjà beaucoup mais pas toujours suffisant…

Le stationnement est limité, nous vous conseillons de co-voiturer et de vous garer bien en amont de La Caverne.

Lire, écouter un extrait de “Comme des bêtes”

http://www.libella.fr/data/extrait/9782283034873.pdf

Interview de Violaine Bérot

https://www.cfmradio.fr/une-eleveuse-et-trois-ecrivaines

Rencontre avec F.-H. Soulié le 16 sept

François-Henri Soulié nous avait régalé avec “Angélus” et voici qu’il revient avec un nouvel opus “Magnificat” qui se déroule 11 ans plus tard. Nous aurons le grand plaisir de l’accueillir jeudi 16 septembre à 18h30 à la librairie. S’il fait beau, nous nous installerons Place du Four Neuf. 🙂

Le nombre de places étant limité, nous vous conseillons vivement de réserver à l’adresse suivante : letracteursavant@gmail.com

Le port du masque sera demandé pendant la rencontre.

Magnificat

Après Angélus, voici le nouveau livre de François-Henri Soulié !
An 1177. La vicomtesse Ermengarde règne seule sur le riche comté de Narbonne. Dernière de sa dynastie, elle entretient une cour raffinée dont le jeune troubadour Guilhem de Malpas est le plus brillant fleuron.
Dans l’ombre, elle est pourtant la proie d’un complot implacable. Les marchands, qui constituent la richesse de la ville, veulent faire du comté une république à l’égal de Gênes ou de Pise. Le comte de Toulouse rêve de s’emparer du comté. Les marchands de Narbonne ourdissent un complot visant à instaurer une République. L’Eglise de Rome, quant à elle, se cherche des alliés pour éradiquer l’hérésie cathare.
Dans un palais déserté de sa cour et assiégé par la neige, Ermengarde, affaiblie par la maladie, assiste aux meurtres de ses derniers soutiens. Pour fédérer son peuple, elle place tous ses espoirs dans un grand spectacle dont elle a confié la charge à Guilhem de Malpas.
Mais l’art peut-il vraiment sauver un monde en proie à la violence et à la cupidité ? Pour les Cathares, l’affaire est entendue : le monde est la création du diable et la beauté le dernier piège qu’il nous tend.
Conjurations, trahisons, complots sont les rouages d’un jeu sans pitié dont l’issue sera fatale pour toute une société…

Magnificat” de F.-H. Soulié, éditions 10/18, 522 pages, 15.90€

François-Henri Soulié

François-Henri Soulié est un homme de théâtre aux multiples casquettes : écrivain, comédien, marionnettiste, scénographe, metteur en scène et scénariste. Il a reçu le Prix du premier roman du festival de Beaune en 2016 pour Il n’y a pas de passé simple, paru aux Éditions du Masque. Ce livre a inauguré la série des « Aventures de Skander Corsaro ».
François-Henri Soulié est l’auteur chez 10/18 d’une trilogie écrite à quatre mains avec Thierry Bourcy, qui nous fait voyager à travers l’Europe du début du XVIIe siècle : Le Songe de l’astronome, La Conspiration du Globe et Ils ont tué Ravaillac.

Vidéo

“Ma vie rurale”, rencontre avec Cécile Iordanoff

Nous avons le grand plaisir d’accueillir Cécile Iordanoff pour la présentation de son roman “Ma vie rurale” publiée aux éditions Parole.

Ma vie rurale ou la vie d’une fille de Paris qui a quitté un producteur de films pour un producteur de veaux (bio !)

Sans trop savoir pourquoi, si ce n’est prendre la vague du retour à la nature, une Parisienne quitte sa vie de citadine pour s’installer à la campagne. Elle est réalisatrice de films, rêve d’une ferme idéale, rencontre un éleveur de veaux et s’installe dans sa maison. Elle passe son permis de chasse, s’enchante et se désenchante mais s’intègre et ne repartira plus.

C’est drôle, léger et pétillant. Cécile Iordanoff propose dans ce livre, publié aux éditions Parole, un regard réaliste et tendre sur la confrontation entre deux mondes.

Qui est Cécile Iordanoff ?

Cécile Iordanoff est réalisatrice, scénariste de films documentaires et de fiction et journaliste free lance.

“J’aurais voulu être une artiste, institutrice, vétérinaire, chercheuse, inventeur, paysanne, camionneuse, gangster, avocate, espionne, politicienne, dresseuse de lions, architecte, marin, pilote de chasse, astronaute, exploratrice…
Tout cela mais aussi ce dont personne ne rêve,
Davaï ! Je le réalise… grâce au documentaire !”

Elle s’est installée en 1992 dans le Quercy-Rouergue et y a inauguré le travail à distance avec les premiers chaos d’internet et un train de nuit pour Paris.

Elle écrit les scénarii de ses projets et réalise de nombreux documentaires, sur les thèmes de la nature et de la vie rurale, diffusés sur Canalsatellite et France Ô.

“Ma vie rurale” est son premier roman publié.

Dans les médias

https://www.cfmradio.fr/ma-vie-rurale-

Présentation de l’éditeur

Lire un extrait

https://www.editionsparole.fr/siteinteractifparoleeditions/wp-content/uploads/2021/06/Extrait-MA-VIE-RURALE.pdf